L'addiction au travail ou workaholism est une addiction comportementale "sans produit". Le sujet divise les chercheurs, mais ils s'accordent à le caractériser par un surinvestissement dans le travail à la fois matériel (gros temps consacré au travail) et émotionnel (se créer des contraintes sans raisons véritables ou rationalisées).
Ce comportement addictif peut être nourri par le besoin de sécurité d'emploi, d'argent, mais souvent pour essayer de se prouver à soi-même et à son entourage sa capacité à réussir, ou encore de renforcer son statut au sein de l'entreprise.
On observe aussi d'autres comportements tels que l'hyperactivité, le perfectionnisme exacerbé, l'esprit de compétition et de défi, le culte de l'entreprise et du travail, une relation parfois conflictuelle à la vie de famille et les loisirs.
La différence entre le travailleur acharné et un workaholic, c'est que pour le premier le travail est un outil, alors qu'il est un objet en soi, vécu compulsivement pour le deuxième.
Tous ne sont pas des travailleurs compulsifs, car il existe des cas de workaholic "anorexiques", qui procrastinent longtemps avant de travailler efficacement et qui finalement doivent rattraper le temps perdu par un surinvestissement.
Dans de nombreux cas, le diagnostic est retardé parce que le travail est une valeur noble, et qu'il s'agit d'une addiction positive.
On estime que 5 à 30 % des travailleurs sont concernés en France. Mais les études manquent encore pour en préciser la prévalence.
Plusieurs études récentes ont montré les conséquences d'une telle addiction : allergies, ulcères, reflux gastriques, migraines ou encore surpoids, mais aussi dépression, troubles relationnels jusqu'au Burn-out.
Trouble de l'estime de soi - Modèles parentaux - Pression environnementale - Mal connaitre sa propre endurance - Négliger ses besoins de repos et de déconnexion - Des systèmes de convictions survalorisés - Contraintes auto-imposées - Compétition sociale
L'addiction au travail ou workaholism est une addiction comportementale "sans produit". Le sujet divise les chercheurs, mais ils s'accordent à le caractériser par un surinvestissement dans le travail à la fois matériel (gros temps consacré au travail) et émotionnel (se créer des contraintes sans raisons véritables ou rationalisées).
Ce comportement addictif peut être nourri par le besoin de sécurité d'emploi, d'argent, mais souvent pour essayer de se prouver à soi-même et à son entourage sa capacité à réussir, ou encore de renforcer son statut au sein de l'entreprise.
On observe aussi d'autres comportements tels que l'hyperactivité, le perfectionnisme exacerbé, l'esprit de compétition et de défi, le culte de l'entreprise et du travail, une relation parfois conflictuelle à la vie de famille et les loisirs.
La différence entre le travailleur acharné et un workaholic, c'est que pour le premier le travail est un outil, alors qu'il est un objet en soi, vécu compulsivement pour le deuxième.
Tous ne sont pas des travailleurs compulsifs, car il existe des cas de workaholic "anorexiques", qui procrastinent longtemps avant de travailler efficacement et qui finalement doivent rattraper le temps perdu par un surinvestissement.
Dans de nombreux cas, le diagnostic est retardé parce que le travail est une valeur noble, et qu'il s'agit d'une addiction positive.
On estime que 5 à 30 % des travailleurs sont concernés en France. Mais les études manquent encore pour en préciser la prévalence.
Plusieurs études récentes ont montré les conséquences d'une telle addiction : allergies, ulcères, reflux gastriques, migraines ou encore surpoids, mais aussi dépression, troubles relationnels jusqu'au Burn-out.
Coaching professionnel - L'addiction au travail se caractérise par un surinvestissement professionnel à la fois matériel et émotionnel. Il peut entrainer de nombreux troubles physiques et psychologiques, non seulement au travail, mais avec la famille. Plusieurs thérapies peuvent arrêter la spirale infernale et accompagner le sujet avant un Burnout.
L’hypnose peut être une aide dans ce domaine. Par le biais d’exercices d’imagerie mentale, pour modifier la perception de la situation et donc, de leurs sensations. Les séances d'hypnose peuvent aussi être un bon moyen de réduire le stress et de parvenir plus facilement à l’état de pleine conscience recherché pour se ressourcer. Car dans le cas de workaholism il faut aussi essayer de supprimer les besoins à leur source, trouver d'autres manières de satisfaire ces besoins, voire diminuer les besoins jusqu'à ce qu'ils soient à un niveau supportable et trouver d'autres moyens de les satisfaire. Lorsque l'addiction est ancienne, il est parfois difficile d'arrêter complètement les processus inconscients en cause, dans ce cas il s'agit de diminuer l'intensité de l'émotion produite par un travail de recadrage.
Dans les cas plus complexes, le thérapeute saura vous aider à dépister et accompagner les maladies associées, dépression, troubles relationnels ou anxieux chroniques. Ce travail pourra aussi bien concerner la sphère personnelle que familiale. En effet, il peut arriver parce, qu'il se sent insatisfait ou vit une situation difficile, que le workaholic se surinvestit dans à sa vie professionnelle afin de fuir des responsabilités et son environnement familial.
Thérapie familiale - De fait, la famille joue souvent un rôle important
dans l'apparition du workaholism, mais également dans sa rémission,
c'est pourquoi la consultation de thérapeute familial présente un
intérêt notable. De plus, les hommes, femmes et enfants concernés ont
eux aussi besoin d'assistance pour découvrir et comprendre les raisons
qui poussent le workaholic à se consacrer totalement au travail, au
détriment de sa vie de famille.
Yoga et Qi Gong - Dans ces troubles, le yoga et aussi le Qi Gong fournissent des résultats tout à fait intéressants. Des études ont montrent une réduction significative des indicateurs de niveau de stress : baisse du cortisol, diminution des ondes bêta et augmentation des ondes alpha. D’autres auteurs ont noté un effet significatif à court terme sur la douleur, l’anxiété et la dépression, sur sur burnout et de fatigue chronique. Les premières études portant sur le QI Gong sont aussi encourageantes, et permettent notamment de retrouver une meilleure santé grâce aux automassages et déblocages articulaires, à la restauration d'une respiration complète, et d'une circulation énergétique plus favorable aux situations de stress professionnel. Ces techniques, tout comme le Taï Chi permettent dans la durée d’améliorer sa résistance physique et mentale à la charge de travail, de réguler le fonctionnement des organes comme le poumon, le foie, le couple rate/estomac et de faire face aux « agresseurs » avec davantage de calme, protégeant en particulier le cœur et le système vasculaire et l’énergie vitale du rein.
Dans le cas de burn-out, il n'est pas simple de prendre seul ce recul sur tout ce qui a pu nous éloigner de notre centre d’équilibre et ensuite de réajuster certains comportements, et surtout certaines des représentations sur qui nous sommes, ce qui est essentiel pour nous, et quels sont les rapports "sains" entre les êtres. Le Coach spécialisé dans le domaine professionnel, par sa connaissance des rapports de force en milieu professionnel, ses connaissances en psychologie est à même de vous guider afin que vous retrouviez en vous-même, les bons repères, les structures qui relient et qui permettent de repartir du bon pied.
L'addiction au travail peut être épuisante, mais le psychothérapeute aide à trouver un équilibre entre vie professionnelle et personnelle, permettant de vivre plus sereinement.